viernes, 31 de enero de 2014

MON VOYAGE EN FRANCE.



Mon expérience Comenius est en train de devenir géniale, je me suis rendu compte que mon niveau de français c'est amélioré et chaque jour c'est mieux.
Les premier jours ont été un peu durs, parce que ce n’est pas facile d'arriver dans un endroit où tu ne connais personne et que tu es tout seul, mais c'est à ce moment-là que tu dois être toi-même, t'ouvrir aux autres et te faire des amis parce que sinon cette opportunité de 3 mois, au lieu d'être inoubliable,  peut être une mauvaise expérience.
Pour ma part j'ai la chance d'avoir une famille d'accueil très gentille et polie avec moi, même si nous sommes très différents. Je dois les remercier pour leur très bon accueil, parce qu’ils essayent de m'aider toujours et ils résolvent tout ce qu'ils peuvent, ils sont très agréables.
Être loin de sa famille pendant les vacances de Noël aurait pu être très difficile mais cela ne l'a pas trop été grâce a la famille d'accueil. Le fait de passer Noël avec une famille d'accueil comme la mienne, avec beaucoup de coutumes et avec beaucoup de cultures différentes ensemble, c'est très enrichissant et cela me permet d'apprendre beaucoup de nouvelles choses.

Mais si je suis sincère, la famille c'est la famille, et personne ne changerait un Noël avec sa famille pour rien, mais cette fois a été différente, et ça a été cool, c'est une expérience de plus dans ma vie.
De plus dans ma famille française, ils ne parlent pas seulement le français et ça me permet de pratiquer d'autres langues.
Donc, pour l'instant tout va bien dans mon séjour et je suis sûr que ça va aller de mieux en mieux.


                                                 Antonio Bajón Ruiz

jueves, 21 de marzo de 2013

JOURNAL DE TROIS ÉLÈVES COMENIUS EN FRANCE.

ET... C'EST FINI!

Pendant les six mois qu'on a vécu l'expérience Comenius, on a fait plus qu' apprendre le français. Ces trois mois en France ont été une des meilleures expériences de ma vie. J'ai eu une famille géniale qui m'a accueillie comme une de ses enfants.
Au début de l'année scolarie, les filles françaises, nos correspondantes, sont arrivées chez nous et ont appris la langue et la culture espagnoles. Elles ont fait plein d'amis, elles ont visité beacoup d'endroits de notre ville et de notre région. En plus, elles ont connu la cuisine espagnole, nos loisirs, les sports qu'on pratique... et aussi le lycée, les choses qu'on apprend, la façon d'étudier...
Et puis, les trois mois suivants, nous sommes allées chez elles. Pour moi (Carmen), la première semaine a été très difficile: tu te sens vraiment perdue, tu ne comprends pas ce que les gens te disent.... mais c'est à ce moment-là que ta correspondante, sa famille, et les professeurs viennent t'aider et te soutenir.
On est arrivées le 10 décembre, donc on a passé Noël là-bas! On aurait pu penser que cela a été difficile, mais non. Nous avons mangé avec la famille les plats typiques de Noël, des huîtres, du saumon fumé et de la tartiflette et on a eu beaucoup de cadeaux. Je (Lydia) leur ai montré notre tradition des douze raisins et on a bien rigolé!
Au lycée, tout était très différent. À vrai dire, la vie d'une fille ou d'un garçon se passe au lycée. La journée commence à 8h30 quand il commence les cours, il mange au self plus au moins à midi et après il continue ses cours jusqu'a 17h30. Après il doit attendre le car et environ à 19h il dîne, il fait ses devoirs et il se couche. Pendant la journée au lycée il a des heures de "perm", libres, où il peut travailler ses cours, étudier ou simplement se reposer et être avec ses copains. C'est pour cette raison que les lycées sont vraiment bien equipes, avec beaucoup d'ordinateurs pour travailler, une grande salle qui s'appelle "foyer" où il y a de la place pour que les élèves puissent bavarder, écouter de la musique, se reposer, jouer aux cartes... et aussi ils ont des salles où ils peuvent réviser ses cours avec l'aide d'un professeur.
Et on travaillait dur: il fallait suivre les cours tout en suivant les matières espagnoles! Pendant notre séjour les professeurs espagnols nous envoyaient régulièrement des devoirs et des résumés, puisqu'à notre retour on devait ratrapper tout ce qu'on n'avait pas fait pendant ces trois mois. Et aussi, on essayait de réussir à comprendre tous les cours du Jean Bodin. Au début c'était dur mais finalement on y a réussi!
Et il ne restait pas de temps pour sortir, sauf les week-ends, qui ne étaient pas du tout pareils qu'ici. Parfois on faisait des soirées chez les amis de ma corres. On jouait, on chantait, on rigolait, on faisait des blagues et quand on se couchait, on mettait des matelas par terre.
Et on a fait beacoup de visites: Paris, Lyon,...
Le dernier jour de cours, ma classe a organisé un goûter pour moi (Patricia) C'était une très bonne expérience, et maintenant Anaïs me manque beacuoup. Les amis que j'ai faits et ma classe me manquent aussi. Ce qui ne me manque pas du tout, c'est la nourriture du self, ça jamais!
Le dernier jour (Lidia) à Nantes, c'était très triste, on a toutes pleuré. Et on a réussi à mettre toutes les valises dans le car, ce qui semablait une mission impossible!
Pour finir je dirai (Carmen) que c'est une expérience fantastique, que ça m'a servi à apprendre plein de choses et à connaître des gens merveilleux et que tout ça me manque beaucoup.


CARMEN ABELLÁN, PATRICIA CARRO, LIDIA FERNÁNDEZ (1º Bachillerato)



lunes, 25 de febrero de 2013

JOURNAL DE TROIS ÉLÈVES COMENIUS EN FRANCE


Au revoir Jean Bodin

Le vendredi 22 février a été notre dernier jour de cours. Ma classe a été très gentille avec moi : pendant toute la semaine, ils ont préparé des gouters pour moi. Ils ont tous apporté quelque chose à boire ou à manger.
Le premier goûter a été en cours d’anglais. La prof a apporté un gâteau au chocolat ! Après ma classe m’a donné une carte en forme de cœur, avec des mots et de phrases de tous mes copains. Ensuite j’ai été avec Lidia, Carmen et Elsa (Carmen a pleuré parce que sa classe lui a donné une photo avec des mots aussi, Mme. Poulet lui a donné un cadeau et ils l’ont tous applaudi).
Le midi on a mangé de la tartiflette (C’est un truc très bon : Des patates avec du fromage et des lardons), et après ça nous ne pouvions plus manger.
Après manger j’avais cours de grec (on a encore mangé). La prof (Mme. Poulet) m’a aussi donné un cadeau et elle a apporté des merveilles, qui sont des petits gâteaux sucrés, et on a regardé « El Cid » en anglais avec des sous-titres en espagnol, alors je pense que j’étais la seule à comprendre.
Puis j’ai eu cours de sport, on a joué au hand-ball, et quand on a fini, j’ai eu cours de français, le dernier cours de la journée, et de mon séjour en France.
Ma classe a fait un contrôle et après on a fait un dernier goûter. Mes amis ont apporté des brownies, des cookies, du jus de pomme, des roses des sables, des bonbons… et moi j’ai apporté une tortilla de patata. On a tous beaucoup mangé. Quand la sonnerie a sonné la prof m’a dit que c’était un plaisir de m’avoir eu comme élève et après ils m’ont tous applaudi. Et là, j’ai commencé à pleurer. J’ai fait des photos de la classe (moi j’ai une tête terrible, j’étais en train de pleurer !) et après ils m’ont tous dit au revoir.
J’ai dit aussi au revoir à quelques amis d’Anaïs et je suis retournée à la maison.



Patricia Carro García

domingo, 24 de febrero de 2013

ON EST ALLÉS AU THÉÂTRE!

 Et on a vu "L'avare" de Molière, joué par la troupe (petite: que 3 acteurs) "La bohème"



Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière naît à Paris en 1622 et meurt en 1673.  On ne connaît pas l'origine de son surnom: peut-être il a pris le nom d'un écrivain admiré? peut-être il a voulu s'annoblir en prenant le nom d'un village (au début il faisait précéder son surnom de la particule "de")?

Son siècle c'est le Grand Siècle, celui de Louis XIV, du pouvoir absolu de roi soleil et aussi du rayonnement de la langue et la culture française dans le reste de l'Europe. C'est le siècle de Corneille, de Racine, de Lafontaine, de Pascal, Descartes, et tant d'autres en France. Mais aussi celui de Rembrandt et de Rubens, de Newton, de Shakespeare, Cervantes, Quevedo, Góngora, Velázquez, ...

Molière est né au sein d'une famille riche et bourgeoise. Son père était tapissier du roi, il voulait que son fils fasse des études de droit et qu'il prenne son métier de tapissier, prestigieux et bien payé, mais... le jeune  Molière décide de tout quitter et devenir acteur. Il rejoint la troupe de Madeleine et Joseph Béjart qu'il va appeler "l'Illustre Théâtre" Les débuts sont difficiles, ils ont beaucoup de dettes et ils décident de quitter Paris et parcourir la France en jouant les premières comédies écrites par Molière.

De retour à Paris, il obtient la protection du roi, qui adore le théâtre, et commence alors la belle époque de création des meilleures pièces, que sa troupe et lui-même jouent devant la cour. La protection du roi sera précieuse aux moments difficiles, lorsque ses critiques des contemporains provoquent la fureur de ceux-ci.

Molière écrit trente-trois pièces, dont les plus importantes sont: "Les précieuses ridicules" (1659), "L'ecole de femmes" (1662), "Tartuffe" (1664), "Dom Juan" (1665), "Le Misanthrope" (1666), "Le Médecin malgré lui" (1666), "L'Avare" (1668), "Le Bourgeois gentilhomme" (1670), "Les Femmes savantes" (1672) et "Le Malade imaginaire" (1673)

Dans ses pièces il dénonce les vices de la société contemporaine: les mariages d'intérêt, les prétentions de la bourgeoisie (il n'attaquait pas trop la noblesse car c'était à la cour qu'il jouait, il ne pouvait pas critiquer ses protecteurs), l'hypocrisie du clergé, l'ignorance des médecins... Parfois ses satires allaient trop loin et on l'accusait d'impiété ou d'immoralité. Son "Tartuffe",où il caricaturise certains prêtres hypocrites et parasites des grandes familles, est interdit pendant 5 ans.

Le scandale arrive aussi par sa vie privée. Après avoir été l'amant de Madeleine Béjart, il se marie avec la soeur de celle-ci, Armande, vingt plus jeune que lui. Les contemporains vont dire qu'en réalité c'est la fille de Madeleine et on arrive même à accuser Molière d'inceste...

Molière va tout faire dans sa troupe: c'est l'auteur des pièces mais aussi le metteur en scène, l'acteur et le chef de la troupe. Le théâtre sera tout dans sa vie jusqu'à la fin: très malade il joue "Le Malade imaginaire" où il se moque de ces médecins ignorants qui ne sont pas capables de le guérir. En pleine représentation il est pris d'un malaise et il meurt quelques heures plus tard.

Molière reste l'auteur classique le plus étudié, représenté et adapté du théâtre français. Son comique, ses types universels, sa verve vertigineuse, font de lui un auteur qui reste moderne et qui nous a fait passer un très bon moment lors de la représentation.


LES ÉLÈVES DE 3º ET 4º ESO

Bande annonce du film "L'avare" où Louis de Funès joue le rôle d'Harpagon.


domingo, 10 de febrero de 2013

JOURNAL DE TROIS ÉLÈVES COMENIUS EN FRANCE


Bonjour la France !

Le réveil sonne. Il est 6h15 du matin. Je me lève et me dirige à la cuisine où m’attend Zoé pour prendre notre petit déjeuner ensemble. Après avoir mangé, on s’habille et on quitte la maison pour prendre le car pour aller au lycée.
Le trajet dure environ 20 minutes avant notre arrivé au lycée. Il est huit heures moins le quart et notre première heure de cours commence à 8h15, ainsi que nous attendons la sonnerie avec nos amis. Nous ne connaissons pas encore les classes donc, on suit nos amis partout.
Les pires heures de cours sont les cours de deux heures, elles ne se terminent jamais. On mange vers midi soit avec nos correspondantes, soit avec nos amies. (La nourriture reste dégueulasse).
Pendant les heures qu’on n’a pas cours, on se retrouve au CDI, (la bibliothèque française) et on fait nos devoirs d’Espagne. On a plusieurs pauses de 15 minutes chacune où on est toutes les Espagnoles ensemble au foyer.
Les cours finissent à 17h23 donc on attend le car 20 minutes pour rentrer à la maison.
Quand on est rentrées il est déjà 18h30, on regarde un peu la télé et on va dîner toute la famille ensemble, on discute et quand nous avons terminé on va se coucher. Et le jour est fini. Bonne nuit !

Lidia Fernandez Moreno 5°B

jueves, 31 de enero de 2013

JOURNAL DE TROIS ÉLÈVES COMENIUS EN FRANCE: Le lycée Jean Bodin




Durant ces deux mois, j’ai pu observer beaucoup de différences entre les habitudes françaises et les espagnoles. C’est vrai qu’il existe des similitudes mais, en général, le style de vie est différent. Il y a des différences dans la mode, dans la nourriture, dans les horaires et surtout au niveau de l’école.
 À l’école presque tout est différent. Par exemple, la relation des élèves avec leurs professeurs est beaucoup plus distante et, en général, ils sont plus disciplinés durant les cours.
Sur les horaires, nous pouvons dire qu'ils passent toute la journée dans le lycée, puisqu'ils entrent à la même heure que nous, ils mangent là-bas et ils sortent à 17h30. Cependant, ils ont des heures libres durant la journée, pour étudier, pour travailler ou pour se reposer simplement.
Les installations sont aussi très différentes : le lycée Jean Bodin est très bien équipé et très moderne. Les classes sont grandes puisqu'en général dans chaque classe il y a plus ou moins 30 élèves. Ces classes ont quelques tableaux (ils disposent de tableaux Velléda, alors que nous nous n’utilisons que des tableaux noirs) deux fois plus  grands que ceux d’Espagne et ils sont pliants. Les salles disposent aussi d'un vidéoprojecteur, haut-parleurs, et un ordinateur chacune. Le lycée a aussi une grande salle, le foyer, où les élèves peuvent se reposer, et bavarder entre eux sans avoir à gêner le reste de l’établissement, cette salle a des babyfoots et une salle insonorisée où on peut jouer de la batterie, de la guitare électrique et du piano.
Le lycée dispose aussi d'une bibliothèque avec ordinateurs, un self, un petit amphithéâtre et des laboratoires pour des pratiques de biologie, de physique et de chimie.
La dernière différence qu’on peut voir c’est l’organisation des emplois du temps puisqu’ ici on peut avoir une heure et demie ou deux heures d’une matière et en Espagne on a un maximum d’une heure.

CARMEN ABELLÁN (1º Bachillerato)

martes, 29 de enero de 2013

INTOUCHABLES: QUELLE BELLE HISTOIRE!!!

Nous avons vu « Intouchables » en cours de français, un film basé sur des faits réels, très émouvant, qui raconte l’histoire de Philippe, milliardaire tétraplégique, qui embauche Driss comme aide-soignant, un jeune homme qui vient de sortir de prison. Les deux hommes sont très différents et leurs problèmes sont très différents aussi : Philippe est riche, cultivé, mais il a constamment besoin d’aide ; Driss ne connaît que sa cité de banlieue et il vit dans la marginalité et la pauvreté mais il est optimiste et surtout il ne ressent pas de pitié par le handicapé. Depuis le début ils s’entendent parfaitement bien et deviennent amis.
Ce film a connu un énorme succès en France et également beaucoup d’Espagnols sont allés le voir et l’ont apprécié.

Pablo : «  L’histoire est très belle et très émouvante. Le jeu des acteurs est magnifique. J’ai vu le film plus de trois fois. Il aurait dit être nommé aux Oscars de Hollywood »
Mario : « Pour moi c’est un film très bien fait. Je lui donne une note de 9/10 »
Irene : « Je pense que c’est un des meilleurs films que j’ai vu. Les personnages sont géniaux et j’aime surtout Driss parce qu’il ne voit jamais Philippe comme un handicapé, mais comme une personne normale »
Margarita : « Ce qui m’a plu le plus c’est la fin, parce que je croyais qu’elle allait être triste, mais non, ce film se termine de la meilleure façon possible. La musique est très bonne pare qu’elle transmet les sentiments des personnages. Mais le film est très drôle aussi, c’est une espèce de comédie avec de la tristesse »
Carla : « Ce film m’a appris qu’il faut savoir affronter les problèmes avec naturel et humour, bien que cela soit difficile parfois. Il faut aussi souligner la bande son et les paysages du film, qui sont magnifiques »
Andrea : « Vraiment ce film m’a beaucoup plu parce que c’est un film très émouvant. Ce qui m’a plu le plus c’est la scène qui se passe dans la montagne pendant laquelle ils font du parapente. Ce moment me produit une grande sensation de liberté, c’est un moment très beau »
Ismael : « J’aime trop le film »

Réalisateurs : Éric Toledano et Olivier Nakache.
Acteurs principaux : François Cluzet (Philippe) et Omar Sy (Driss)


ÉLÈVES DE 4ºB