jueves, 31 de enero de 2013

JOURNAL DE TROIS ÉLÈVES COMENIUS EN FRANCE: Le lycée Jean Bodin




Durant ces deux mois, j’ai pu observer beaucoup de différences entre les habitudes françaises et les espagnoles. C’est vrai qu’il existe des similitudes mais, en général, le style de vie est différent. Il y a des différences dans la mode, dans la nourriture, dans les horaires et surtout au niveau de l’école.
 À l’école presque tout est différent. Par exemple, la relation des élèves avec leurs professeurs est beaucoup plus distante et, en général, ils sont plus disciplinés durant les cours.
Sur les horaires, nous pouvons dire qu'ils passent toute la journée dans le lycée, puisqu'ils entrent à la même heure que nous, ils mangent là-bas et ils sortent à 17h30. Cependant, ils ont des heures libres durant la journée, pour étudier, pour travailler ou pour se reposer simplement.
Les installations sont aussi très différentes : le lycée Jean Bodin est très bien équipé et très moderne. Les classes sont grandes puisqu'en général dans chaque classe il y a plus ou moins 30 élèves. Ces classes ont quelques tableaux (ils disposent de tableaux Velléda, alors que nous nous n’utilisons que des tableaux noirs) deux fois plus  grands que ceux d’Espagne et ils sont pliants. Les salles disposent aussi d'un vidéoprojecteur, haut-parleurs, et un ordinateur chacune. Le lycée a aussi une grande salle, le foyer, où les élèves peuvent se reposer, et bavarder entre eux sans avoir à gêner le reste de l’établissement, cette salle a des babyfoots et une salle insonorisée où on peut jouer de la batterie, de la guitare électrique et du piano.
Le lycée dispose aussi d'une bibliothèque avec ordinateurs, un self, un petit amphithéâtre et des laboratoires pour des pratiques de biologie, de physique et de chimie.
La dernière différence qu’on peut voir c’est l’organisation des emplois du temps puisqu’ ici on peut avoir une heure et demie ou deux heures d’une matière et en Espagne on a un maximum d’une heure.

CARMEN ABELLÁN (1º Bachillerato)

martes, 29 de enero de 2013

INTOUCHABLES: QUELLE BELLE HISTOIRE!!!

Nous avons vu « Intouchables » en cours de français, un film basé sur des faits réels, très émouvant, qui raconte l’histoire de Philippe, milliardaire tétraplégique, qui embauche Driss comme aide-soignant, un jeune homme qui vient de sortir de prison. Les deux hommes sont très différents et leurs problèmes sont très différents aussi : Philippe est riche, cultivé, mais il a constamment besoin d’aide ; Driss ne connaît que sa cité de banlieue et il vit dans la marginalité et la pauvreté mais il est optimiste et surtout il ne ressent pas de pitié par le handicapé. Depuis le début ils s’entendent parfaitement bien et deviennent amis.
Ce film a connu un énorme succès en France et également beaucoup d’Espagnols sont allés le voir et l’ont apprécié.

Pablo : «  L’histoire est très belle et très émouvante. Le jeu des acteurs est magnifique. J’ai vu le film plus de trois fois. Il aurait dit être nommé aux Oscars de Hollywood »
Mario : « Pour moi c’est un film très bien fait. Je lui donne une note de 9/10 »
Irene : « Je pense que c’est un des meilleurs films que j’ai vu. Les personnages sont géniaux et j’aime surtout Driss parce qu’il ne voit jamais Philippe comme un handicapé, mais comme une personne normale »
Margarita : « Ce qui m’a plu le plus c’est la fin, parce que je croyais qu’elle allait être triste, mais non, ce film se termine de la meilleure façon possible. La musique est très bonne pare qu’elle transmet les sentiments des personnages. Mais le film est très drôle aussi, c’est une espèce de comédie avec de la tristesse »
Carla : « Ce film m’a appris qu’il faut savoir affronter les problèmes avec naturel et humour, bien que cela soit difficile parfois. Il faut aussi souligner la bande son et les paysages du film, qui sont magnifiques »
Andrea : « Vraiment ce film m’a beaucoup plu parce que c’est un film très émouvant. Ce qui m’a plu le plus c’est la scène qui se passe dans la montagne pendant laquelle ils font du parapente. Ce moment me produit une grande sensation de liberté, c’est un moment très beau »
Ismael : « J’aime trop le film »

Réalisateurs : Éric Toledano et Olivier Nakache.
Acteurs principaux : François Cluzet (Philippe) et Omar Sy (Driss)


ÉLÈVES DE 4ºB

sábado, 5 de enero de 2013

JOURNAL DE TROIS ÉLÈVES COMENIUS EN FRANCE: Noël loin de la famille... avec une autre famille.


Joyeux Noël!

On a commencé les vacances le 21 décembre (le jour de la fin du Monde!).  À l’école on a fait un “après-midi banalisé”. On a regardé un film (Intouchables) et une pièce de théâtre, quelques élèves ont joué de la musique, on a fait un flash-mob de Gangnam Style et on a mangé des gâteaux. Le soir on est allées au Bal Masqué, c’était une fête organisée par les amis d’Anaïs pour une association, et il fallait s’habiller classe et porter un masque.

Le 24 décembre, la tante et la grand-mère d’Anaïs sont venues et on a dîné ensemble. J’ai gouté des huîtres pour la première fois et ça a été dégueulasse. Anaïs a aussi essayé de gouter une huître  mais elle l’a avalée avant d’avoir le goût en bouche. Le 25 j’ai eu des cadeaux, beaucoup de cadeaux : un livre, un pack de DVD, un vernis à ongles, des tickets pour un concert d’un groupe qui reprend les chansons des Beatles et des chocolats. On a mangé avec la tante et la grand-mère qui sont restées dormir à la maison.

Le 28 on a célébré Noël avec la famille de la mère d’Anaïs, et on était beaucoup. On a mangé ensemble et joué à des jeux de société et après on a diné. Les cousins sont restés avec nous pour dormir. Le 29 on a mangé ensemble une autre fois.

Le 31 décembre on a fêté le nouvel an. On est allé chez une amie et on a mangé de la raclette. À minuit on a fait manger les 12 raisins aux Françaises, et c’était très drôle parce que personne n’y arrivait, c’était trop vite. Après nous sommes sortis dans la rue et on a crié « Joyeux nouvel an ! » partout. Nous sommes retournés et on a continué la fête. On est allé dormir très tard.
Le jour suivant quand nous nous sommes réveillés on a rangé la maison et on est retournés chez Anaïs. Là on a continué à dormir.

....à suivre.

Patricia Carro (1º bachillerato)